Parcours d’une artiste brodeuse
Après avoir expérimenté diverses broderies occidentales, j’ai découvert la broderie japonaise en 2011. Cette broderie complexe et relativement peu connue en France m’a permis d’assouvir un vieux rêve, passer de la broderie artisanale d’ornement à la broderie d’art.
Après avoir effectué un stage de base, j’ai poursuivi ma formation avec le livre de Mireille Amar « Japanese embroidery through the millenium » et le livre de Japanese Embroidery Center (JEC) « Japanese embroidery – the techniques based on nuido ». Ce dernier est désormais traduit en français par la JEC.
Rapidement, la broderie japonaise m’a menée vers la broderie chinoise, car les deux broderies sont parentes. J’ai eu la chance de découvrir le livre de Margaret Lee, « The art of chinese embroidery ». Cet ouvrage m’a initié à la broderie Su, une broderie qui se rapproche étonnamment de l’art pictural.
Comment devenir brodeur ou brodeuse
Toutes ces broderies orientales sont réalisées avec des tissus et des fils en soie.
En France, ces matériaux sont plutôt difficiles à trouver ou présentent une qualité qui ne convient pas. Il faut alors se tourner vers l’étranger.
Pour la France, la boutique Endora vend des fils spécifiquement pour la broderie chinoise et propose également des kits pour celles et ceux qui voudraient s’initier à cette magnifique broderie.
Et maintenant, je vous ai peut-être donné envie d’apprendre ces magnifiques broderies, alors